La lumière de l'été n'éclaire pas toujours ce que l'on croit
La lumière de l'été n'éclaire pas toujours ce que l'on croit déconstruit les façades pour donner toute la place à la réalité, souvent crue. Le roman est construit dans un entrecroisement de plusieurs destins, par l'entremise d'un journal tenu par deux diaristes. Le lecteur est donc devant un pluri-discours marquant divers degrés de maturité et qui démantèle, au fil des pages, les apparences pour donner place à la réalité. Juxtaposant l'horizontalité la plus basse - manipulation, mensonge, meurtre, etc. - et un désir sincère d'élévation, ce roman témoigne d'une profonde humanité aux prises avec les aléas de la vie. La lumière de l'été n'éclaire pas toujours ce que l'on croit est aussi une excursion philosophique, un voyage autour du globe à travers l'histoire de l'art et les plaisirs charnels de l'existence.
Du même éditeur
L'INTERLIGNE - livre canadien